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Mais c'est quoi ce bordel !
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:: Le bac à sable :: Goulag
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Tu sais un forum avec dupond en admin, ça n'a forcément aucun intérêt donc personne avait jugé utile de t'en parler
EDIT: Mc Dobald , fc , dupond, mario33 , dupont
mais lol
EDIT: Mc Dobald , fc , dupond, mario33 , dupont
mais lol
Tatayet- Patrick Sébastien de Bronze
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(8/12)
Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Ceci n'est pas un bordel, ceci est un forum respectable qui parle du TFC (il doit y avoir un post dessus qui doit trainer en 10ème page...)
gm- Tatayet d'or
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(12/12)
Re: Mais c'est quoi ce bordel !
j'ai du le louper alorsdupond a écrit:Ceci n'est pas un bordel, ceci est un forum respectable qui parle du TFC (il doit y avoir un post dessus qui doit trainer en 10ème page...)
hasdrubald- Carlos en bière
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Mc Dobald a écrit:j'ai du le louper alorsdupond a écrit:Ceci n'est pas un bordel, ceci est un forum respectable qui parle du TFC (il doit y avoir un post dessus qui doit trainer en 10ème page...)
attends je cherche
gm- Tatayet d'or
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Voilà, un post de dupont:
A L'ORIGINE DU STADIUM, LE "PARC TOULOUSAIN"
Dans sa séance du 30/03/31, le conseil municipal de Toulouse, dirigé par le maire socialiste Etienne Billères, réélu en 1929, décidait, ainsi qu'il l'avait annoncé dans son programme électoral, la mise en oeuvre d'un "stadium populaire et d'une piscine d'été et d'hiver (1) " (ph 1) sur le site du Ramier du Château acquis par la ville en 1902, "au lieu de disperser ses efforts sur plusieurs points du territoire communal (2)" . (ph 2)
Les attendus de cette délibération inscrivent bien cette réalisation dans le "municipalisme", gestion attentive au développement des équipements socio-éducatifs et sportifs, qualifiant depuis le début du siècle les programmes édilitaires de quelques grands maires, notamment ceux qui étaient à la tête de municipalités progressistes :
"...La devise que nous pourrions adopter pour cette oeuvre est la suivante : air, eau , lumière, éléments indispensables pour lutter efficacement contre la maladie et donner au corps la robustesse et la grâce...(3) . (ph 3)
Le programme (4) comportait, pour une superficie totale de 31 hectares (ph 4) :
- un plateau de sport en plein air comprenant toutes les disciplines y compris la pelote basque mais en privilégiant le rugby : trois terrains pour seulement un de football et huit courts de tennis
- deux bassins d'été, un de compétition de 50m sur 16m pour 2000 spectateurs, et un bassin d'agrément inauguré en 1931, de 150 m sur 50m, comportant une île avec "diverses cascades tombant d'une montagne de rochers (5)" (ph 5) . Une plage de sable fin de 6 m de large ceinturait tout le bassin car l'on pensait alors qu'une exposition au soleil sur ce sable était excellente pour la santé. Ce dernier bassin sera présenté aux toulousains comme devant être le plus grand d'Europe
- une piscine d'hiver, inaugurée en 1934, avec des gradins pour 800 spectateurs et un vestiaire de 1000 cabines individuelles servant aussi pour les bassins en plein air (ph 6); le même bâtiment comprenant aussi l'Institut d'Education Physique, une salle des fêtes, un gymnase et une terrasse formant solarium (ph 7)
- un stade comportant 14 300 places assises et 15 200 debouts ainsi qu'une piste cyclable de 450 m sur 12 m, une autre de courses pédestres de six couloirs; une première inauguration aura lieu en 1939, les tribunes étant encore en construction.
L'importance de ce programme ne reçut pas l'agrément de toute la population : " la Ligue des Contribuables s'élève contre "cette plage de luxe pour le prolétariat " (6).
Le site choisi pour ces réalisations (ph est constitué par la moitié aval d'une série d'îles sur la Garonne, entre deux quartiers résultant de l'extension de Toulouse au XIXème siècle. Situés en zône inondable, ces terrains avaient jusque-là reçu essentiellement des constructions industrielles, notamment une centrale hydro-électrique, une usine d'incinération d'ordures assurant le chauffage urbain (édifiée elle-aussi par la municipalité Billères), ainsi qu'un laboratoire d'essais hydraulique. En amont du site, des terrains avaient été concédés en 1912 à la Poudrerie Nationale.
Dès 1908, ces îles faisaient l'objet de projets d'aménagements en lieux de promenade et de récréations, le "Parc Toulousain"; des plantations d'alignement et en quinconces, un théatre de verdure de 1300 places dessiné par l'architecte municipal Galinier, un kiosque à musique y avaient même été réalisés, constituant l'amorce d'un parc de loisirs à proximité du coeur de la ville. Plusieurs ponts et passerelles permettaient d'y accéder.
L'un d'eux, le pont Saint-Michel, en charpente métallique, situé à l'extrémité aval du Ramier et reliant deux anciennes places de porte, remplaçait depuis 1890, un pont suspendu emporté par la crue de 1875. Il sera lui-même démoli et reconstruit en béton précontraint par E. Freyssinet en 1961.
Un autre, le pont Garigliano ou pont des Recollets reliera au Parc Toulousain le Grand Ensemble d'Empalot (ph 9) qui longe la rive droite de la Garonne face aux îles. Ce Grand Ensemble fut le premier édifié à Toulouse; son plan de masse initial, largement modifié par la suite, est dû à R. Chini, associé de R. Armendary (7). Le terrain d'Empalot était jusque là considéré comme peu propice à recevoir des bâtisses; raison pour laquelle, pendant la guerre, l'architecte E. Aillaud y projetera des aménagements sportifs qui auraient constitué une zône intermédiaire entre le Parc Toulousain et les côteaux de Pech-David, future zône de loisirs de Toulouse, le tout relié par un téléphérique conçu par le même E. Aillaud. Ce pont fut inauguré en 1958 pour l'ouverture de la XXVIIème Foire de Toulouse dont les bâtiments métastasent de plus en plus la très conventionnelle composition du Parc Toulousain depuis qu'aprés la fin de la dernière guerre le site de ces foires fut transféré des mails des allées Jean-Jaurès et du quai de Tounis aux îles du Ramier. En 1969, ce pont fut prolongé en surplombant l'île du Ramier par le pont P. de Coubertin, achevant ainsi la liaison rive droite-rive gauche.
D'autres ponts enfin, à l'extrémité amont, assurant le passage d'une voie ferrée, d'une voirie automobile et plus tard d'une rocade périphérique, sont situés à proximité d'une zône dévolue à l'industrie chimique qu'ils desservent en partie (Poudrerie Nationale, usines de traitements de l'azote et l'Ecole de Chimie dûes pour une part à la célébrité du prix Nobel et grand chimiste toulousain P. Sabatié).
Pour en terminer avec les accès au Parc Toulousain, on mentionnera la création par la municipalité Billères d'un train miniature à vapeur, avec ses infrastructures (ph 10), acheminant ses passagers du pont Saint-Michel à l'entrée du Parc; notons qu'un autre moyen de transport tout aussi ludique sera assuré pendant le Mondial par une péniche navigant sur la Garonne.
A l'origine des équipements sportifs du Parc Toulousain, nous trouvons comme nous l'évoquions plus haut un programme électoral dans lequel "le loisir est conçu comme éducation populaire" comparable aux actions municipales de Suresnes, Villeurbanne, Lille,... "pour permettre à la population de bénéficier des avantages de l'eau, de l'air et de la lumière (" . Limpidité et clarté qui ne semblent cependant pas avoir été convoquées lors de la genèse du projet. Trois auteurs vont porter ce projet sur les fonds baptismaux du conseil municipal du 30/03/1931 : la municipalité bien sûr, l'entreprise "Les Charpentiers Toulousains", l'Office Municipal d'H.B.M.
A la demande de la municipalité, l'Office devait financer ces équipements, du moins les piscines et leurs abords, parcequ'il oeuvrait ainsi à sa vocation hygiéniste (ph 11); motif que recusa plus tard l'administration centrale arguant que ces équipements ne recevraient pas que la clientèle de l'Office. La municipalité dut par conséquent trouver elle-même les financements de cette opération aidée en cela par Les Charpentiers Toulousains. Cette entreprise, très imprégnée d'esprit compagnonique, réalisait alors les principaux chantiers municipaux comme la grande bibliothèque municipale, les H.B.M. du Grand-Rond et travaillait pour d'autres grandes municipalités socialistes , notamment à Narbonne pour le Palais du Vin. C'est elle qui présenta lors de la séance du 30/03/1931 le premier projet signé par C. Baruteaud, ingénieur-architecte salarié de l'entreprise et qui se disait spécialiste des questions sportives. Notons que R. Armendary, architecte que l'on retrouvera plus tard dans le projet de la porte du Parc Toulousain et pour les HBM du Grand-Rond, était lui aussi salarié de cette entreprise.
Ce premier projet, auquel s'associera J. Montariol, architecte et de l'office H.B.M. et de la municipalité, où le dessin du stade n'est qu'esquissé, présente une conception onirique de la piscine couverte (ph 12) ; un long parallélépipède de style art-déco traversé par un navire à vapeur dont la proue vient s'échouer sur les bords de la piscine en plein air (ph 13). Plusieurs projets lui succédèrent mais les travaux pour la piscine en plein air (ph 14) démarrèrent quelques jours à peine aprés la délibération du 30/03, la municipalité tenant à l'inaugurer pour la fête du quatorze-juillet suivante. L'entreprise "Les Charpentiers Toulousains", à laquelle échut sans adjudication la commande de ces travaux et de tous ceux qui suivirent, réussit à tenir ces délais et en fut publiquement félicité par le maire : "la société des Charpentiers Toulousains qui, sous l'impulsion irrésistible de son directeur, M. Barthe, a révélé que les légendaires méthodes américaines de construction, déconcertantes par leur hardiesse et par leur rapidité, ont franchi l'Atlantique, pour venir se manifester sur les rives de la Garonne". Le bâtiment abritant entre autres la piscine d'hiver fut, lui, achevé en 1934.(9)
En 1932, un projet d'ensemble du Parc des Sports présenté explicitement cette fois et par les Charpentiers Toulousains et par l'architecte municipal J. Montariol, proposait, outre un dessin plus convenu de la piscine d'hiver, l'ensemble des abords des piscines et du stadium; le tout ceinturé par un mur de clôture de 2,50 m de haut renforcé par un talutage intérieur avec les terres provenant des déblais, devant ainsi "former digue de protection " contre les inondations. (ph 15)
L'ensemble de la composition est très académique : la mise en scène de la monumentalité prime sur une disposition plus fonctionnelle des édifices. On trouve en effet embrochés le long d'un axe majeur de composition : en guise d'entrée, une sorte de propylée massive précédée d'un grand parvis (ph 16) - Armendary en donnera plus tard un desssin plus élégant (ph 17) -, puis un mail perpendiculaire à l'axe; le très grand bassin d'été (150m x 50m) dans lequel se mire le blanc et trés symétrique parallélépipède de la piscine d'hiver; enfin, aprés un autre mail préexistant, l"allée des Pins, légèrement oblique à l'axe, l'entrée principale du "stadium", entrée elle-même monumentale quoique invisible depuis l'entrée du Parc et seulement accessible à la suite d'un cheminement tortueux.
Lelong de cet axe seront aussi disposés la plupart des oeuvres d'art extérieures, réservées à des artistes toulousains (Manau, Parayre (ph 1, Saint-Saens), un céramiste perpignanais, Riolet, (ph 19) étant toléré parcequ'homme du Midi. On retrouve là ce chauvinisme de la "petite patrie" par lequel se constituait une artificielle école toulousaine, ainsi que l'expose Luce Rivet-Barlangue (10)
Il faudra attendre la délibération du 26/06/1936 pour que soit approuvé par le conseil municipal le projet de "stadium" (ph 20) présenté par J. Montariol, les travaux commençant en janvier 1938. (ph 21)
Une longue mise au point avait été nécessitée par l'étude du tracé de la piste cyclable pour lequel Montariol fit appel à un spécialiste allemand de renommée internationale et qui venait de réaliser l'anneau de Milan. Si l'on se remémore la popularité en ces temps-là des sports cyclistes, on comprendra l'attention portée à ce tracé qui de toute façon fut l'objet d'une polémique lors de son inauguration : un chroniqueur sportif dans "La Dépêche du Midi" ne manqua pas de vanter la supériorité de la piste que venait de réaliser la grande rivale de Toulouse, Bordeaux.
La forme générale de cet édifice évolua peu depuis sa première présentation : d'un rectangle sommé de deux hémicycles, elle s'ovalisera trés légèrement pour s'adapter à un meilleur tracé de l'anneau de vitesse, entraînant de ce fait un surcoût pour les coffrages (ph 22). Un auvent, initialement en charpente métallique, couvre la totalité des tribunes, la partie surplombant la piste étant en porte-à-fauxl.
L'enceinte extérieure, reposant sur un portique, était à l'origine rythmée par des travées à proportion verticale marquées par des pilastres; ce qui n'était pas sans rappeler l'ordonnance extérieure de l'amphithéatre romain (ph 4). Dans l'ouvrage définif, seul demeurera le portique (ph 23) et le marquage, aux deux extrémités du petit axe de l'ellipse, de l'entrée principale et de l'entrée secondaire. L'ensemble est construit en béton armé et la réalisation bien entendu confiée aux "Charpentiers Toulousains", devenus entre temps la "Société des Grands Travaux du Sud-Ouest".
Malgré l'interruption du financement par l'Etat en novembre 1938, comme pour tous les autres grands travaux en cours en France, la municipalité tint à ce que, en forme d'inauguration, le Tour de France y fasse son arrivée le 19/07/1939. Durant la guerre le chantier fut arrêté, d'autant qu'à partir de 1942 les troupes d'occupation cantonnèrent dans l'enceinte du "Parc Toulousain".
La reprise des travaux fut adoptée au conseil municipal du 28/07/1945 que présidait le maire socialiste J. Badiou et la même entreprise reprit le chantier, achevant les gradins et réalisant l'auvent. L'architecture du projet définitif de J. Montariol sera presqu'entièrement exécutée (ph 24); manque cependant la statuaire esquissée par l'architecte et que devait donner le sculpteur Parayre, deux athlètes devant les deux pylones bornant l'entrée monumentale et trois bas-reliefs de part et d'autre de cette entrée (ph 25) (ph 26).
Le Stadium restera en cet état jusqu'à la restructuration rendue nécessaire pour le déroulement de la Coupe du Monde. On notera cependant la démolition en 1984 de l'anneau de vitesse, remplacé par des gradins, et la substitution à la couleur blanche de l'enceinte du stade, conforme à l'architecture art-déco, de plusieurs tons de beige selon ce qu'édictait alors la palette des goûts municipaux.
Quant à la composition du "Parc Toulousain", non seulement la prolifération des bâtiments de la Foire de Toulouse en ronge progressivement le dessin mais, depuis 1969, le prolongement du pont Garigliano en superstructure, se substituant à l'allées des Pins et isolant ainsi complètement le Stadium des piscines, en a détruitl'élément majeur du parti, l'axe ordonnant l'entrée du Parc, les bassins et le stade.
A L'ORIGINE DU STADIUM, LE "PARC TOULOUSAIN"
Dans sa séance du 30/03/31, le conseil municipal de Toulouse, dirigé par le maire socialiste Etienne Billères, réélu en 1929, décidait, ainsi qu'il l'avait annoncé dans son programme électoral, la mise en oeuvre d'un "stadium populaire et d'une piscine d'été et d'hiver (1) " (ph 1) sur le site du Ramier du Château acquis par la ville en 1902, "au lieu de disperser ses efforts sur plusieurs points du territoire communal (2)" . (ph 2)
Les attendus de cette délibération inscrivent bien cette réalisation dans le "municipalisme", gestion attentive au développement des équipements socio-éducatifs et sportifs, qualifiant depuis le début du siècle les programmes édilitaires de quelques grands maires, notamment ceux qui étaient à la tête de municipalités progressistes :
"...La devise que nous pourrions adopter pour cette oeuvre est la suivante : air, eau , lumière, éléments indispensables pour lutter efficacement contre la maladie et donner au corps la robustesse et la grâce...(3) . (ph 3)
Le programme (4) comportait, pour une superficie totale de 31 hectares (ph 4) :
- un plateau de sport en plein air comprenant toutes les disciplines y compris la pelote basque mais en privilégiant le rugby : trois terrains pour seulement un de football et huit courts de tennis
- deux bassins d'été, un de compétition de 50m sur 16m pour 2000 spectateurs, et un bassin d'agrément inauguré en 1931, de 150 m sur 50m, comportant une île avec "diverses cascades tombant d'une montagne de rochers (5)" (ph 5) . Une plage de sable fin de 6 m de large ceinturait tout le bassin car l'on pensait alors qu'une exposition au soleil sur ce sable était excellente pour la santé. Ce dernier bassin sera présenté aux toulousains comme devant être le plus grand d'Europe
- une piscine d'hiver, inaugurée en 1934, avec des gradins pour 800 spectateurs et un vestiaire de 1000 cabines individuelles servant aussi pour les bassins en plein air (ph 6); le même bâtiment comprenant aussi l'Institut d'Education Physique, une salle des fêtes, un gymnase et une terrasse formant solarium (ph 7)
- un stade comportant 14 300 places assises et 15 200 debouts ainsi qu'une piste cyclable de 450 m sur 12 m, une autre de courses pédestres de six couloirs; une première inauguration aura lieu en 1939, les tribunes étant encore en construction.
L'importance de ce programme ne reçut pas l'agrément de toute la population : " la Ligue des Contribuables s'élève contre "cette plage de luxe pour le prolétariat " (6).
Le site choisi pour ces réalisations (ph est constitué par la moitié aval d'une série d'îles sur la Garonne, entre deux quartiers résultant de l'extension de Toulouse au XIXème siècle. Situés en zône inondable, ces terrains avaient jusque-là reçu essentiellement des constructions industrielles, notamment une centrale hydro-électrique, une usine d'incinération d'ordures assurant le chauffage urbain (édifiée elle-aussi par la municipalité Billères), ainsi qu'un laboratoire d'essais hydraulique. En amont du site, des terrains avaient été concédés en 1912 à la Poudrerie Nationale.
Dès 1908, ces îles faisaient l'objet de projets d'aménagements en lieux de promenade et de récréations, le "Parc Toulousain"; des plantations d'alignement et en quinconces, un théatre de verdure de 1300 places dessiné par l'architecte municipal Galinier, un kiosque à musique y avaient même été réalisés, constituant l'amorce d'un parc de loisirs à proximité du coeur de la ville. Plusieurs ponts et passerelles permettaient d'y accéder.
L'un d'eux, le pont Saint-Michel, en charpente métallique, situé à l'extrémité aval du Ramier et reliant deux anciennes places de porte, remplaçait depuis 1890, un pont suspendu emporté par la crue de 1875. Il sera lui-même démoli et reconstruit en béton précontraint par E. Freyssinet en 1961.
Un autre, le pont Garigliano ou pont des Recollets reliera au Parc Toulousain le Grand Ensemble d'Empalot (ph 9) qui longe la rive droite de la Garonne face aux îles. Ce Grand Ensemble fut le premier édifié à Toulouse; son plan de masse initial, largement modifié par la suite, est dû à R. Chini, associé de R. Armendary (7). Le terrain d'Empalot était jusque là considéré comme peu propice à recevoir des bâtisses; raison pour laquelle, pendant la guerre, l'architecte E. Aillaud y projetera des aménagements sportifs qui auraient constitué une zône intermédiaire entre le Parc Toulousain et les côteaux de Pech-David, future zône de loisirs de Toulouse, le tout relié par un téléphérique conçu par le même E. Aillaud. Ce pont fut inauguré en 1958 pour l'ouverture de la XXVIIème Foire de Toulouse dont les bâtiments métastasent de plus en plus la très conventionnelle composition du Parc Toulousain depuis qu'aprés la fin de la dernière guerre le site de ces foires fut transféré des mails des allées Jean-Jaurès et du quai de Tounis aux îles du Ramier. En 1969, ce pont fut prolongé en surplombant l'île du Ramier par le pont P. de Coubertin, achevant ainsi la liaison rive droite-rive gauche.
D'autres ponts enfin, à l'extrémité amont, assurant le passage d'une voie ferrée, d'une voirie automobile et plus tard d'une rocade périphérique, sont situés à proximité d'une zône dévolue à l'industrie chimique qu'ils desservent en partie (Poudrerie Nationale, usines de traitements de l'azote et l'Ecole de Chimie dûes pour une part à la célébrité du prix Nobel et grand chimiste toulousain P. Sabatié).
Pour en terminer avec les accès au Parc Toulousain, on mentionnera la création par la municipalité Billères d'un train miniature à vapeur, avec ses infrastructures (ph 10), acheminant ses passagers du pont Saint-Michel à l'entrée du Parc; notons qu'un autre moyen de transport tout aussi ludique sera assuré pendant le Mondial par une péniche navigant sur la Garonne.
A l'origine des équipements sportifs du Parc Toulousain, nous trouvons comme nous l'évoquions plus haut un programme électoral dans lequel "le loisir est conçu comme éducation populaire" comparable aux actions municipales de Suresnes, Villeurbanne, Lille,... "pour permettre à la population de bénéficier des avantages de l'eau, de l'air et de la lumière (" . Limpidité et clarté qui ne semblent cependant pas avoir été convoquées lors de la genèse du projet. Trois auteurs vont porter ce projet sur les fonds baptismaux du conseil municipal du 30/03/1931 : la municipalité bien sûr, l'entreprise "Les Charpentiers Toulousains", l'Office Municipal d'H.B.M.
A la demande de la municipalité, l'Office devait financer ces équipements, du moins les piscines et leurs abords, parcequ'il oeuvrait ainsi à sa vocation hygiéniste (ph 11); motif que recusa plus tard l'administration centrale arguant que ces équipements ne recevraient pas que la clientèle de l'Office. La municipalité dut par conséquent trouver elle-même les financements de cette opération aidée en cela par Les Charpentiers Toulousains. Cette entreprise, très imprégnée d'esprit compagnonique, réalisait alors les principaux chantiers municipaux comme la grande bibliothèque municipale, les H.B.M. du Grand-Rond et travaillait pour d'autres grandes municipalités socialistes , notamment à Narbonne pour le Palais du Vin. C'est elle qui présenta lors de la séance du 30/03/1931 le premier projet signé par C. Baruteaud, ingénieur-architecte salarié de l'entreprise et qui se disait spécialiste des questions sportives. Notons que R. Armendary, architecte que l'on retrouvera plus tard dans le projet de la porte du Parc Toulousain et pour les HBM du Grand-Rond, était lui aussi salarié de cette entreprise.
Ce premier projet, auquel s'associera J. Montariol, architecte et de l'office H.B.M. et de la municipalité, où le dessin du stade n'est qu'esquissé, présente une conception onirique de la piscine couverte (ph 12) ; un long parallélépipède de style art-déco traversé par un navire à vapeur dont la proue vient s'échouer sur les bords de la piscine en plein air (ph 13). Plusieurs projets lui succédèrent mais les travaux pour la piscine en plein air (ph 14) démarrèrent quelques jours à peine aprés la délibération du 30/03, la municipalité tenant à l'inaugurer pour la fête du quatorze-juillet suivante. L'entreprise "Les Charpentiers Toulousains", à laquelle échut sans adjudication la commande de ces travaux et de tous ceux qui suivirent, réussit à tenir ces délais et en fut publiquement félicité par le maire : "la société des Charpentiers Toulousains qui, sous l'impulsion irrésistible de son directeur, M. Barthe, a révélé que les légendaires méthodes américaines de construction, déconcertantes par leur hardiesse et par leur rapidité, ont franchi l'Atlantique, pour venir se manifester sur les rives de la Garonne". Le bâtiment abritant entre autres la piscine d'hiver fut, lui, achevé en 1934.(9)
En 1932, un projet d'ensemble du Parc des Sports présenté explicitement cette fois et par les Charpentiers Toulousains et par l'architecte municipal J. Montariol, proposait, outre un dessin plus convenu de la piscine d'hiver, l'ensemble des abords des piscines et du stadium; le tout ceinturé par un mur de clôture de 2,50 m de haut renforcé par un talutage intérieur avec les terres provenant des déblais, devant ainsi "former digue de protection " contre les inondations. (ph 15)
L'ensemble de la composition est très académique : la mise en scène de la monumentalité prime sur une disposition plus fonctionnelle des édifices. On trouve en effet embrochés le long d'un axe majeur de composition : en guise d'entrée, une sorte de propylée massive précédée d'un grand parvis (ph 16) - Armendary en donnera plus tard un desssin plus élégant (ph 17) -, puis un mail perpendiculaire à l'axe; le très grand bassin d'été (150m x 50m) dans lequel se mire le blanc et trés symétrique parallélépipède de la piscine d'hiver; enfin, aprés un autre mail préexistant, l"allée des Pins, légèrement oblique à l'axe, l'entrée principale du "stadium", entrée elle-même monumentale quoique invisible depuis l'entrée du Parc et seulement accessible à la suite d'un cheminement tortueux.
Lelong de cet axe seront aussi disposés la plupart des oeuvres d'art extérieures, réservées à des artistes toulousains (Manau, Parayre (ph 1, Saint-Saens), un céramiste perpignanais, Riolet, (ph 19) étant toléré parcequ'homme du Midi. On retrouve là ce chauvinisme de la "petite patrie" par lequel se constituait une artificielle école toulousaine, ainsi que l'expose Luce Rivet-Barlangue (10)
Il faudra attendre la délibération du 26/06/1936 pour que soit approuvé par le conseil municipal le projet de "stadium" (ph 20) présenté par J. Montariol, les travaux commençant en janvier 1938. (ph 21)
Une longue mise au point avait été nécessitée par l'étude du tracé de la piste cyclable pour lequel Montariol fit appel à un spécialiste allemand de renommée internationale et qui venait de réaliser l'anneau de Milan. Si l'on se remémore la popularité en ces temps-là des sports cyclistes, on comprendra l'attention portée à ce tracé qui de toute façon fut l'objet d'une polémique lors de son inauguration : un chroniqueur sportif dans "La Dépêche du Midi" ne manqua pas de vanter la supériorité de la piste que venait de réaliser la grande rivale de Toulouse, Bordeaux.
La forme générale de cet édifice évolua peu depuis sa première présentation : d'un rectangle sommé de deux hémicycles, elle s'ovalisera trés légèrement pour s'adapter à un meilleur tracé de l'anneau de vitesse, entraînant de ce fait un surcoût pour les coffrages (ph 22). Un auvent, initialement en charpente métallique, couvre la totalité des tribunes, la partie surplombant la piste étant en porte-à-fauxl.
L'enceinte extérieure, reposant sur un portique, était à l'origine rythmée par des travées à proportion verticale marquées par des pilastres; ce qui n'était pas sans rappeler l'ordonnance extérieure de l'amphithéatre romain (ph 4). Dans l'ouvrage définif, seul demeurera le portique (ph 23) et le marquage, aux deux extrémités du petit axe de l'ellipse, de l'entrée principale et de l'entrée secondaire. L'ensemble est construit en béton armé et la réalisation bien entendu confiée aux "Charpentiers Toulousains", devenus entre temps la "Société des Grands Travaux du Sud-Ouest".
Malgré l'interruption du financement par l'Etat en novembre 1938, comme pour tous les autres grands travaux en cours en France, la municipalité tint à ce que, en forme d'inauguration, le Tour de France y fasse son arrivée le 19/07/1939. Durant la guerre le chantier fut arrêté, d'autant qu'à partir de 1942 les troupes d'occupation cantonnèrent dans l'enceinte du "Parc Toulousain".
La reprise des travaux fut adoptée au conseil municipal du 28/07/1945 que présidait le maire socialiste J. Badiou et la même entreprise reprit le chantier, achevant les gradins et réalisant l'auvent. L'architecture du projet définitif de J. Montariol sera presqu'entièrement exécutée (ph 24); manque cependant la statuaire esquissée par l'architecte et que devait donner le sculpteur Parayre, deux athlètes devant les deux pylones bornant l'entrée monumentale et trois bas-reliefs de part et d'autre de cette entrée (ph 25) (ph 26).
Le Stadium restera en cet état jusqu'à la restructuration rendue nécessaire pour le déroulement de la Coupe du Monde. On notera cependant la démolition en 1984 de l'anneau de vitesse, remplacé par des gradins, et la substitution à la couleur blanche de l'enceinte du stade, conforme à l'architecture art-déco, de plusieurs tons de beige selon ce qu'édictait alors la palette des goûts municipaux.
Quant à la composition du "Parc Toulousain", non seulement la prolifération des bâtiments de la Foire de Toulouse en ronge progressivement le dessin mais, depuis 1969, le prolongement du pont Garigliano en superstructure, se substituant à l'allées des Pins et isolant ainsi complètement le Stadium des piscines, en a détruitl'élément majeur du parti, l'axe ordonnant l'entrée du Parc, les bassins et le stade.
gm- Tatayet d'or
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Ouais mais en fait on est con on est sur le forum de kanoé....
gm- Tatayet d'or
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Lapacompridupond a écrit:Ouais mais en fait on est con on est sur le forum de kanoé....
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
non, rien, c'est juste pour le plaisir de quoter les 2 dupontdsdupont a écrit:Lapacompridupond a écrit:Ouais mais en fait on est con on est sur le forum de kanoé....
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
Mc Dobald a écrit:non, rien, c'est juste pour le plaisir de quoter les 2 dupontdsdupont a écrit:Lapacompridupond a écrit:Ouais mais en fait on est con on est sur le forum de kanoé....
ok donc je suis le dupond avec un d..... comme dupond
gm- Tatayet d'or
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
dupont a écrit:Lapacompridupond a écrit:Ouais mais en fait on est con on est sur le forum de kanoé....
+1 avec Mc Dobald
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
c'est curieux, avec tes 25 messages tu devrais avoir atteint le grade de petit rigolo...y'a du y'avoir un bug,Tatayet a écrit:dupont a écrit:Lapacompridupond a écrit:Ouais mais en fait on est con on est sur le forum de kanoé....
+1 avec Mc Mc Dobald
en même temps faut dire que s.alut
hasdrubald- Carlos en bière
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
J'ai l'impression que les grades n'existent plus.... Si un admin pouvait vérifier cela ??
gm- Tatayet d'or
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
test: j'y connais rien en informatique
Edit: j'assume
Et j'ai eu mon grade, youpi
Edit: j'assume
Et j'ai eu mon grade, youpi
Dernière édition par le Mar 3 Juil - 19:37, édité 1 fois
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
C'est bon j'ai réparé les grades
gm- Tatayet d'or
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
bien jouédupond a écrit:C'est bon j'ai réparé les grades
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
boule de poils d'or ?
Il me faut ce grade ! 2000 messages c'est bien ça ?
Alors allons-y :yakuza: - ici je ne fais pas la grève du yakuza -
EDIT: Tata-Yet n'est pas une simple boule de poils
Et on ne peut plus mettre de smiley ninjja
Il me faut ce grade ! 2000 messages c'est bien ça ?
Alors allons-y :yakuza: - ici je ne fais pas la grève du yakuza -
EDIT: Tata-Yet n'est pas une simple boule de poils
Et on ne peut plus mettre de smiley ninjja
Tatayet- Patrick Sébastien de Bronze
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
boule de poils a écrit:boule de poils d'or ?
Il me faut ce grade ! 2000 messages c'est bien ça ?
Alors allons-y :yakuza: - ici je ne fais pas la grève du yakuza -
EDIT: Tata-Yet n'est pas une simple boule de poils
Et on ne peut plus mettre de smiley ninjja
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
ça sent le dupont çaMc Dobald a écrit:boule de poils a écrit:boule de poils d'or ?
Il me faut ce grade ! 2000 messages c'est bien ça ?
Alors allons-y :yakuza: - ici je ne fais pas la grève du yakuza -
EDIT: Tata-Yet n'est pas une simple boule de poils
Et on ne peut plus mettre de smiley ninjja
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
j'ai quel grade moi?
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
c'est qui Napoléon. Au fait comment on fait les bébés ?? ?
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
c'est qui D*NA, je sais comment on fait les bébé
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Re: Mais c'est quoi ce bordel !
mario33 a écrit:Au fait comment on fait les bébés ?? ?
Tu mets ton kiki dans un frifri
Tatayet- Patrick Sébastien de Bronze
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